Samedi 20 mars : mardi 9 mars : aux usines Schrader, équipementier automobile à Pontarlier, le souverain rencontre les employés ; la plupart peu désireux de le saluer prennent une journée de RTT ; l’une d’entre eux cependant, bravant la situation, reste au travail et quand passe le souverain, refuse de lui serrer la main ; elle est sanctionnée par le directeur pour … impolitesse. (Source : L’Est républicain)
Dimanche 14 mars au matin : c’est jour de marché dans ce petit chef lieu de canton du Quercy ; été comme hiver, le chaland se presse ; les places de parking sont rares ; de tout temps on se gare en bord de route ; mais ce jour là la maréchaussée a sorti ses carnets à souche et verbalise à qui mieux mieux ; l’ordre doit être respecté.
Vendredi 19 mars : après l’attentat attribué à l’ETA, qui a coûté la vie à un gendarme (notons que personne n’a relevé que si les gilets pare-balles étaient mieux conçus, cet homme serait toujours en vie …) on diffuse des images de vidéosurveillance enregistrées dans un hypermarché à Dammarie-les-lys en Seine et Marne ; on y voit cinq hommes faisant leurs courses ensemble ; la police y reconnaît formellement les auteurs de l’attentat ; ce n’étaient que des pompiers espagnols en vacances hexagonales.
Hier encore, Le Parisien aujourd’hui en France révèle qu’une note interne émanant de la préfecture de police de Paris, fixe des quotas à respecter pour les PV ; par exemple un quota de 17.000 PV pour stationnement gênant dans la capitale. Le syndicat Unité police précise également que cette frénésie répressive touche la plupart des villes du Grand Sud, au détriment de la prévention.
Voici quelque temps déjà que la machine répressive est lancée et qu’elle tourne à plein régime ; et les hommes sont tels, comme d’ailleurs le montrent ces détestables expériences sur la violence, à la télé, que rien ne semble pouvoir l’arrêter dans sa course infernale.
Mais quand on déjeune avec le diable, dit la sagesse populaire, il vaut mieux avoir une fourchette à long manche ; ce ne semble pas le cas ; et la sanction-répression pourrait bien demain tomber sur celui qui poussa les feux à la machine.
Dimanche 14 mars au matin : c’est jour de marché dans ce petit chef lieu de canton du Quercy ; été comme hiver, le chaland se presse ; les places de parking sont rares ; de tout temps on se gare en bord de route ; mais ce jour là la maréchaussée a sorti ses carnets à souche et verbalise à qui mieux mieux ; l’ordre doit être respecté.
Vendredi 19 mars : après l’attentat attribué à l’ETA, qui a coûté la vie à un gendarme (notons que personne n’a relevé que si les gilets pare-balles étaient mieux conçus, cet homme serait toujours en vie …) on diffuse des images de vidéosurveillance enregistrées dans un hypermarché à Dammarie-les-lys en Seine et Marne ; on y voit cinq hommes faisant leurs courses ensemble ; la police y reconnaît formellement les auteurs de l’attentat ; ce n’étaient que des pompiers espagnols en vacances hexagonales.
Hier encore, Le Parisien aujourd’hui en France révèle qu’une note interne émanant de la préfecture de police de Paris, fixe des quotas à respecter pour les PV ; par exemple un quota de 17.000 PV pour stationnement gênant dans la capitale. Le syndicat Unité police précise également que cette frénésie répressive touche la plupart des villes du Grand Sud, au détriment de la prévention.
Voici quelque temps déjà que la machine répressive est lancée et qu’elle tourne à plein régime ; et les hommes sont tels, comme d’ailleurs le montrent ces détestables expériences sur la violence, à la télé, que rien ne semble pouvoir l’arrêter dans sa course infernale.
Mais quand on déjeune avec le diable, dit la sagesse populaire, il vaut mieux avoir une fourchette à long manche ; ce ne semble pas le cas ; et la sanction-répression pourrait bien demain tomber sur celui qui poussa les feux à la machine.
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