Dimanche 7 mars : ou bien le Général avait raison, ou bien il avait tort ; ou bien il disait vrai lorsqu’il prétendait qu’il ne fallait pas confier de responsabilités politiques aux femmes car elles se laissent emporter par des raisonnements affectifs et sentimentaux, ou bien il se trompait. Notons que cette attitude ne l’a pas empêché de donner le droit de vote aux femmes, ce que les III° et IV° Républiques n’avaient osé faire et que pourtant Boccace, dès le XIV° siècle, dans son œuvre majeure, Le Décaméron, réclamait.
Il faut donner du temps au temps, disait Raymond Barre ; notons que notre souverain, avant son élection triomphale, avait promis un gouvernement restreint et la parité ; pour l’un et l’autre de ces deux critères, il faudra encore attendre. Certes on a beaucoup montré Rama et Rachida, un peu moins Famela, ; c’était coup double : femmes et diverses ; mais le succès ne fut pas au rendez-vous ; Rama est toujours là, elle est belle à voir dit-on, et comme elle ne fait rien, elle a une côte d’enfer, c’est le syndrome Chirac.
Rachida pour sa part a su montrer ce que femme pouvait et savait faire ; elle vient donc d’assister en qualité d’observateur aux élections en Irak ; et pendant qu’on s’entretuait, elle s’adonnait à son devoir people en effectuant, hier au soleil couchant, une promenade médiatisée dans un parc au bord du Tigre. C’est là qu’on voit que De gaulle avait tort, des femmes qui savent garder la tête froide, il n’en manque pas.
C’est cependant du côté de l’Elysée que ça cloche un peu ; parmi les cinq grands conseillers du souverain (les Guaino, Guéant, Lévitte …) une seule femme ; mieux que rien direz-vous. Mais alors que l’association Ni putes ni soumises manifestant dans la capitale avait recouvert, place de la République, la statue éponyme d’une burqua noire, bien vite furent dépêchées les forces de l’ordre pour la dévoiler ; car comme le souverain a dit lors de sa visite au Salon, au sujet de l’environnement : « ça commence à bien faire ! ». En parler ça va, en faire ça ne va plus.
Il faut donner du temps au temps, disait Raymond Barre ; notons que notre souverain, avant son élection triomphale, avait promis un gouvernement restreint et la parité ; pour l’un et l’autre de ces deux critères, il faudra encore attendre. Certes on a beaucoup montré Rama et Rachida, un peu moins Famela, ; c’était coup double : femmes et diverses ; mais le succès ne fut pas au rendez-vous ; Rama est toujours là, elle est belle à voir dit-on, et comme elle ne fait rien, elle a une côte d’enfer, c’est le syndrome Chirac.
Rachida pour sa part a su montrer ce que femme pouvait et savait faire ; elle vient donc d’assister en qualité d’observateur aux élections en Irak ; et pendant qu’on s’entretuait, elle s’adonnait à son devoir people en effectuant, hier au soleil couchant, une promenade médiatisée dans un parc au bord du Tigre. C’est là qu’on voit que De gaulle avait tort, des femmes qui savent garder la tête froide, il n’en manque pas.
C’est cependant du côté de l’Elysée que ça cloche un peu ; parmi les cinq grands conseillers du souverain (les Guaino, Guéant, Lévitte …) une seule femme ; mieux que rien direz-vous. Mais alors que l’association Ni putes ni soumises manifestant dans la capitale avait recouvert, place de la République, la statue éponyme d’une burqua noire, bien vite furent dépêchées les forces de l’ordre pour la dévoiler ; car comme le souverain a dit lors de sa visite au Salon, au sujet de l’environnement : « ça commence à bien faire ! ». En parler ça va, en faire ça ne va plus.
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